Lorsque le décès d’un proche survient, il existe deux possibilités de service mortuaire.
Si en amont du décès le défunt à indiquer ses dernières volontés et pensé à effectuer les formalités en cas de décès, le choix sera évident, si ce n’est pas le cas, ce sera à vous d’opter entre la crémation et l’inhumation.
La crémation, le corps redevient poussière
Opter pour la crémation est devenu une pratique de plus en plus répandue en France. Ce procédé funéraire consiste à brûler la dépouille du parent décédé puis à placer ces cendres après crémation dans une urne funéraire qui servira à lui rendre hommage.
Cela n’est pas forcément évident, mais le procédé d’une crémation n’est pas tellement différent du procédé de l’inhumation. En effet, bien que voué à être réduit en cendres le corps du défunt doit tout de même être placé dans une chambre mortuaire, puis levé et mis en bière, c’est-à-dire enfermé et scellé dans un cercueil. C’est une fois arrivé au crématorium, que la cérémonie funéraire diffère : au lieu d’être enfoui sous terre, le cercueil va être incinéré et réduit en cendres. L’urne cinéraire permettra de recueillir ces cendres et sera l’équivalent de la pierre tombale permettant de rendre hommage au mort.
L’inhumation, le corps repose sous terre
L’inhumation, reste en France le choix le plus fréquent lorsqu’un décès survient. Ce service mortuaire, qui consiste à garder le corps du défunt intact jusqu’à l’enterrement dans le cimetière, implique généralement de la thanatopraxie. Cette opération vise à « préparer » le corps du défunt par des professionnels dans une chambre mortuaire, au vu de le présenter lors de la cérémonie à l’église par exemple, si tel est le choix de la famille. Dans le cas de l’inhumation, le cercueil n’est pas voué à la crémation, mais à héberger le corps du défunt qui sera enfoui sous terre, ce sera donc sa dernière demeure, comme l’est l’urne cinéraire en cas d’incinération.
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